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Le Concours d’excellence en relations industrielles (CERI) vu par le directeur du module, le professeur Jean-François Tremblay

Jean-François Tremblay est professeur et directeur du module des relations industrielles de l’UQO. Le Concours d’excellence en relations industrielles existe depuis 16 ans et il s’agit d’une expérience que le professeur Tremblay vit avec passion depuis 15 ans. Il estime que ce fut un grand honneur pour notre université de pouvoir accueillir les meilleurs étudiants, l’élite des étudiants en relations industrielles des universités Laval, de Montréal et bien entendu, ceux de l’UQO.

« Je pense que chaque année on tente de mettre la barre un peu plus haute, et le défi a été relevé avec brio par le comité organisateur » souligne le professeur Tremblay. Il ajoute : « nous avons pu compter sur une délégation de gens dynamiques et compétents qui nous ont fait honneur et qui ont triomphé à maints égards, ceci a grandement contribué à rendre l’expérience très agréable ».

Jean-François Tremblay tient, à féliciter particulièrement le comité organisateur du CERI à qui on doit lever notre chapeau. Ce qui est particulier, le comité est composé de diplômés de l’UQO qui croient en leur université et à ce Concours d’excellence en relations industrielles. « Ces gens ont choisi d’investir beaucoup de temps bénévolement pour que l’événement de cette année soit un succès : bravo pour cette grande édition du concours! »

L’importance de ce type de concours d’excellence

Le professeur Tremblay ne veut rien enlever à l’importance d’autres concours dans d’autres disciplines, mais il croit que la tenue du CERI est fondamentale. « C’est certainement le plus important parce qu’il permet aux étudiants de vivre l’expérience de la négociation collective, l’arbitrage de griefs, des politiques publiques du travail, la gestion des ressources humaines et la santé et sécurité au travail dans un cadre extrêmement réaliste. Ce que les étudiants doivent faire, c’est ce qu’ils auront à faire lorsqu’ils seront de futurs praticiens. C’est le concours qui est le plus exigeant puisque les compétitions se déroulent pendant une semaine et les participants doivent démontrer d’excellentes aptitudes dans une variété de tâches reliées à la profession ».

Des épreuves devant de véritables arbitres et de vrais juges

Les épreuves du Concours d’excellence en relations industrielles amènent beaucoup de réalisme et de sérieux avec des gens qui sont des experts chevronnés, les étudiants doivent se dépasser et mieux comprendre la nature de ce que sont les relations industrielles.

Les cours magistraux et les exercices en classe sont importants, mais de vivre une simulation tellement près de la réalité et d’avoir la rétroaction de professionnels qui œuvrent quotidiennement dans le domaine, c’est une grande source d’enrichissement et de valorisation estime le professeur Tremblay.

Ce dernier conclue en disant : « Je suis très fier de la délégation qui à maints égards a triomphé et qui a démontré tout le sérieux de la démarche et de l’excellence de nos programmes d’études, des professeurs et des personnes chargées de cours. Le CERI est un concours où les participants démontrent leurs compétences et chapeau aux étudiants de l’UQO et à l’ensemble des gens qui y ont participé. »

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Savoir > Articles Le Concours d’excellence en relations industrielles (CERI) vu par le directeur du module, le professeur Jean-François Tremblay Jean-François Tremblay est professeur et directeur du module des relations industrielles de l’UQO. Le Concours d’excellence en relations industrielles existe depuis 16 ans et il s’agit d’une expérience que le professeur Tremblay vit avec passion depuis 15 ans. Il estime que ce fut un grand honneur pour notre université de pouvoir accueillir les meilleurs étudiants, l’élite des étudiants en relations industrielles des universités Laval, de Montréal et bien entendu, ceux de l’UQO. « Je pense que chaque année on tente de mettre la barre un peu plus haute, et le défi a été relevé avec brio par le comité organisateur » souligne le professeur Tremblay. Il ajoute : « nous avons pu compter sur une délégation de gens dynamiques et compétents qui nous ont fait honneur et qui ont triomphé à maints égards, ceci a grandement contribué à rendre l’expérience très agréable ». Jean-François Tremblay tient, à féliciter particulièrement le comité organisateur du CERI à qui on doit lever notre chapeau. Ce qui est particulier, le comité est composé de diplômés de l’UQO qui croient en leur université et à ce Concours d’excellence en relations industrielles. « Ces gens ont choisi d’investir beaucoup de temps bénévolement pour que l’événement de cette année soit un succès : bravo pour cette grande édition du concours! » L’importance de ce type de concours d’excellence Le professeur Tremblay ne veut rien enlever à l’importance d’autres concours dans d’autres disciplines, mais il croit que la tenue du CERI est fondamentale. « C’est certainement le plus important parce qu’il permet aux étudiants de vivre l’expérience de la négociation collective, l’arbitrage de griefs, des politiques publiques du travail, la gestion des ressources humaines et la santé et sécurité au travail dans un cadre extrêmement réaliste. Ce que les étudiants doivent faire, c’est ce qu’ils auront à faire lorsqu’ils seront de futurs praticiens. C’est le concours qui est le plus exigeant puisque les compétitions se déroulent pendant une semaine et les participants doivent démontrer d’excellentes aptitudes dans une variété de tâches reliées à la profession ». Des épreuves devant de véritables arbitres et de vrais juges Les épreuves du Concours d’excellence en relations industrielles amènent beaucoup de réalisme et de sérieux avec des gens qui sont des experts chevronnés, les étudiants doivent se dépasser et mieux comprendre la nature de ce que sont les relations industrielles. Les cours magistraux et les exercices en classe sont importants, mais de vivre une simulation tellement près de la réalité et d’avoir la rétroaction de professionnels qui œuvrent quotidiennement dans le domaine, c’est une grande source d’enrichissement et de valorisation estime le professeur Tremblay. Ce dernier conclue en disant : « Je suis très fier de la délégation qui à maints égards a triomphé et qui a démontré tout le sérieux de la démarche et de l’excellence de nos programmes d’études, des professeurs et des personnes chargées de cours. Le CERI est un concours où les participants démontrent leurs compétences et chapeau aux étudiants de l’UQO et à l’ensemble des gens qui y ont participé. »	Suivez-nous sur Facebook et Twitter!
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