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Le mentorat : comment aider la relève

Jean-François Racine est diplômé de l’UQO en relations industrielles. Il travaille depuis 7 ans pour le gouvernement fédéral comme conseiller en relations de travail. Monsieur Racine a eu la chance d’avoir un mentor alors qu’il a participé à 3 reprises au Concours d’excellence en relations industrielles (CERI).

Jean-François Racine explique que c’est le directeur du module des relations industrielles, Jean-François Tremblay qui l’a invité à devenir mentor : « Il m’a demandé en 2009 d’aider les étudiants en les faisant bénéficier de mon expérience, et depuis 4 ans, j’aime beaucoup pouvoir redonner aux autres ce que d’autres ont accepté de faire pour moi, c’est-à-dire, me guider dans le merveilleux monde des relations industrielles ».

Le diplômé de l’UQO confie qu’il a lui-même un mentor à son travail à l’Agence canadienne pour le développement international (ACDI) : « Ceci fait partie de ma philosophie de travail, quelqu’un qui peut donner des conseils et nous accorder du temps de qualité afin de partager des expériences et de trucs du métier. Avec le concours d’excellence en relations industrielles, ce n’est pas seulement de la théorie, c’est aussi de l’application de concepts et il faut être capable de livrer le meilleur de soi-même en peu de temps et avec très peu de préparation. L’intervention d’un mentor devient alors judicieuse.

Avec ses 7 années d’expérience au sein du gouvernement fédéral, Jean-François Racine voit son rôle de mentor dans les compétitions comme celui qui peut établir un pont entre l’expertise des professeurs au plan académique, la théorie et le volet pratique. “Comme mentor, j’ai une expérience de travail, je connais bien le programme de l’UQO et j’ai fait le concours et je m’intéresse beaucoup aux étudiants et à leurs potentiels.»

Monsieur Racine dit qu’il lui arrive de voir des étudiants de première année avec un talent énorme : “On sait qu’ils vont rafler des prix. Il faut mettre le temps, les efforts et tout devient possible. Comme mentor on sait qu’il y a des choses à ajuster, mais avec les coachings pratiques, on constate que ça s’améliore rapidement ».

Jean-François Racine communique avec fierté son attachement envers l’UQO puisqu’il est membre du conseil de module des relations industrielles à titre de membre socio-économique, il a également participé à la révision du programme. En fait l’UQO, c’est une histoire de famille! Son père, Simon Racine alors qu’il était conseiller municipal à Gatineau a toujours milité en faveur de l’UQO, sa mère, Huguette Cousineau est une diplômée de l’UQO. Elle a également été chargée de cours au Département des sciences infirmières ainsi que membre du conseil d'administration de l'UQO.

Félicitations à Jean-François Racine pour son implication et il nous donne rendez-vous pour le prochain Concours d’excellence en relations industrielles l’an prochain alors qu’il préparera la relève pour les prochains mentors des délégations de l’UQO.

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Savoir > Articles Le mentorat : comment aider la relève Jean-François Racine est diplômé de l’UQO en relations industrielles. Il travaille depuis 7 ans pour le gouvernement fédéral comme conseiller en relations de travail. Monsieur Racine a eu la chance d’avoir un mentor alors qu’il a participé à 3 reprises au Concours d’excellence en relations industrielles (CERI). Jean-François Racine explique que c’est le directeur du module des relations industrielles, Jean-François Tremblay qui l’a invité à devenir mentor : « Il m’a demandé en 2009 d’aider les étudiants en les faisant bénéficier de mon expérience, et depuis 4 ans, j’aime beaucoup pouvoir redonner aux autres ce que d’autres ont accepté de faire pour moi, c’est-à-dire, me guider dans le merveilleux monde des relations industrielles ». Le diplômé de l’UQO confie qu’il a lui-même un mentor à son travail à l’Agence canadienne pour le développement international (ACDI) : « Ceci fait partie de ma philosophie de travail, quelqu’un qui peut donner des conseils et nous accorder du temps de qualité afin de partager des expériences et de trucs du métier. Avec le concours d’excellence en relations industrielles, ce n’est pas seulement de la théorie, c’est aussi de l’application de concepts et il faut être capable de livrer le meilleur de soi-même en peu de temps et avec très peu de préparation. L’intervention d’un mentor devient alors judicieuse. Avec ses 7 années d’expérience au sein du gouvernement fédéral, Jean-François Racine voit son rôle de mentor dans les compétitions comme celui qui peut établir un pont entre l’expertise des professeurs au plan académique, la théorie et le volet pratique. “Comme mentor, j’ai une expérience de travail, je connais bien le programme de l’UQO et j’ai fait le concours et je m’intéresse beaucoup aux étudiants et à leurs potentiels.» Monsieur Racine dit qu’il lui arrive de voir des étudiants de première année avec un talent énorme : “On sait qu’ils vont rafler des prix. Il faut mettre le temps, les efforts et tout devient possible. Comme mentor on sait qu’il y a des choses à ajuster, mais avec les coachings pratiques, on constate que ça s’améliore rapidement ». Jean-François Racine communique avec fierté son attachement envers l’UQO puisqu’il est membre du conseil de module des relations industrielles à titre de membre socio-économique, il a également participé à la révision du programme. En fait l’UQO, c’est une histoire de famille! Son père, Simon Racine alors qu’il était conseiller municipal à Gatineau a toujours milité en faveur de l’UQO, sa mère, Huguette Cousineau est une diplômée de l’UQO. Elle a également été chargée de cours au Département des sciences infirmières ainsi que membre du conseil d'administration de l'UQO. Félicitations à Jean-François Racine pour son implication et il nous donne rendez-vous pour le prochain Concours d’excellence en relations industrielles l’an prochain alors qu’il préparera la relève pour les prochains mentors des délégations de l’UQO.	Suivez-nous sur Facebook et Twitter!
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