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Alexandre Moreau : la passion de s'enrichir!

Alexandre Moreau est l'un de ces êtres passionnés et animés par son domaine d'études. D'ailleurs, il parvient à nous nourrir de sa ferveur dès les premiers abords! Étudiant de deuxième année au baccalauréat en relations industrielles et ressources humaines, il a déjà laissé sa marque dans plusieurs compétitions interuniversitaires et s'engage, de façon remarquable, au sein de la communauté étudiante afin de faire valoir l'importance de sa discipline.

La piqûre des relations industrielles

Natif de Val-d'Or, en Abitibi, Alexandre a complété trois ans d'études au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue et était grandement engagé dans le sport, faisant partie de l'équipe de basket-ball de son institution collégial. C'est donc d'instinct qu'il avait décidé d'entamer ses études en kinésiologie, jusqu'à ce qu'il suive un cours en gestion des ressources humaines. C'est la révélation! L'étudiant bifurquera donc vers cette discipline qui sera pour lui, l'une des plus épanouissantes.

Entre rencontres marquantes et concours interuniversitaires

Alexandre n'était pas persuadé d'avoir fait le bon choix de domaine, jusqu'à ce qu'il rencontre Mélanie Laroche, une ancienne professeure de l'UQO, qui transmettra à l'étudiant son amour pour les relations industrielles. « Ma rencontre avec Mélanie Laroche a confirmé que j'étais dans le bon domaine d'études. Grâce à elle, je compte poursuivre mon cheminement universitaire jusqu'à la maîtrise. » C'est également Mélanie qui l'encouragera à s'inscrire au Concours d'excellence en relations industrielles (CERI).

Le CERI est un concours interuniversitaire réunissant des équipes qui participent à des simulations de cas basées sur la réalité quotidienne des entreprises et des syndicats. Ces études de cas sont divisées en cinq volets : la gestion des ressources humaines, la négociation collective, l'arbitrage de griefs, la santé et sécurité du travail et les politiques publiques. Après avoir agit à titre de participant au CERI, édition 2008, qui se déroulait à l'Université Laval, le flambeau fut transmis à l'UQO, qui accueillait du 19 au 23 janvier 2009 les délégations provenant des trois programmes de relations industrielles au Québec soit le Département des relations industrielles de l'Université Laval, le Département des relations industrielles de l'UQO ainsi que l'École de relations industrielles de l'Université de Montréal.

Cette année, c'est Alexandre qui en a assumé la présidence et qui s'est occupé de la coordination de la logistique. Après avoir travaillé intensément et assidument de septembre 2008 jusqu'à la fin du concours, l'étudiant a obtenu plusieurs éloges sur l'organisation du CERI et a pu agrandir son réseau de contacts, certains employeurs lui ayant même offert des possibilités de stages. « Certains ont même mentionné qu'il s'agissait de l'un des plus beaux CERI auxquels ils avaient participé à ce jour. »

Outre le CERI, l'étudiant participera bientôt au Concours Excalibur, un tournoi interuniversitaire canadien en ressources humaines organisé par l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés.

L'engagement

D'emblée, Alexandre soutient que l'implication étudiante doit d'abord et avant tout passer par les professeurs. De fait, « ce sont eux qui ont la passion et qui ont un plus grand impact sur les étudiants. Si les professeurs s'impliquent, les étudiants suivront la parade. »

À plus long terme, il compte se diriger vers les domaines des relations de travail et la négociation collective. D'ailleurs, un négociateur de la corporation Métro lui a même dit que « si je n'allais pas vers la négociation, j'allais gâcher un talent. » Parallèlement, il développe même petit à petit son sujet de maîtrise qui portera fort probablement sur le partenariat entre le patronal et le syndical.

Sinon, Alexandre ne s'avance pas trop sur l'avenir : « J'irai là où le vent m'amènera ».

L’organisation du Concours d’excellence en relation industrielle à l’UQO a bénéficié de l’appui de plusieurs partenaires dont Guru, la CSST, la FTQ, le Four Points par Sheraton, l’UQO, le RÉMAA sans oublier l’Age-UQO.

Sur la photo : Les membres de la délégation de l'UQO lors du Gala du Concours d'excellence en relations industrielles qui se tenait dans un grand hôtel de Gatineau.

Alexandre Moreau

Alexandre Moreau, responsable de l'organisation du Concours d'excellence en relations industrielles 2009 qui s'est déroulé à l'UQO.

La 2ième position en Gestion des ressources humaines pour l'UQO.

La 2ième position en Gestion des ressources humaines pour l'UQO. De gauche à droite : Maxine L.-D., Roxanne Henry, Caroline Larose, Martin Lauzier (Professeur à l'UQO), et Céline Langlois.

La 2ième position Politiques Publiques à l'UQO

La 2ième position Politiques Publiques à l'UQO. De gauche à droite : Maxime Marchand, Francis Allard, Nicole McIntosh, Jonathan Roy-Beaumier, Ralph Jean-Poix (Président d'assemblé)

La 2ième place de Débat Oratoire

La 2ième place de Débat Oratoire. Simon Lanteigne, de l'UQO, entouré par deux présentatrices, a gagné la deuxième place au débat oratoire .

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Savoir > Articles Alexandre Moreau : la passion de s'enrichir! Alexandre Moreau est l'un de ces êtres passionnés et animés par son domaine d'études. D'ailleurs, il parvient à nous nourrir de sa ferveur dès les premiers abords! Étudiant de deuxième année au baccalauréat en relations industrielles et ressources humaines, il a déjà laissé sa marque dans plusieurs compétitions interuniversitaires et s'engage, de façon remarquable, au sein de la communauté étudiante afin de faire valoir l'importance de sa discipline. La piqûre des relations industrielles Natif de Val-d'Or, en Abitibi, Alexandre a complété trois ans d'études au Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue et était grandement engagé dans le sport, faisant partie de l'équipe de basket-ball de son institution collégial. C'est donc d'instinct qu'il avait décidé d'entamer ses études en kinésiologie, jusqu'à ce qu'il suive un cours en gestion des ressources humaines. C'est la révélation! L'étudiant bifurquera donc vers cette discipline qui sera pour lui, l'une des plus épanouissantes. Entre rencontres marquantes et concours interuniversitaires Alexandre n'était pas persuadé d'avoir fait le bon choix de domaine, jusqu'à ce qu'il rencontre Mélanie Laroche, une ancienne professeure de l'UQO, qui transmettra à l'étudiant son amour pour les relations industrielles. « Ma rencontre avec Mélanie Laroche a confirmé que j'étais dans le bon domaine d'études. Grâce à elle, je compte poursuivre mon cheminement universitaire jusqu'à la maîtrise. » C'est également Mélanie qui l'encouragera à s'inscrire au Concours d'excellence en relations industrielles (CERI). Le CERI est un concours interuniversitaire réunissant des équipes qui participent à des simulations de cas basées sur la réalité quotidienne des entreprises et des syndicats. Ces études de cas sont divisées en cinq volets : la gestion des ressources humaines, la négociation collective, l'arbitrage de griefs, la santé et sécurité du travail et les politiques publiques. Après avoir agit à titre de participant au CERI, édition 2008, qui se déroulait à l'Université Laval, le flambeau fut transmis à l'UQO, qui accueillait du 19 au 23 janvier 2009 les délégations provenant des trois programmes de relations industrielles au Québec soit le Département des relations industrielles de l'Université Laval, le Département des relations industrielles de l'UQO ainsi que l'École de relations industrielles de l'Université de Montréal. Cette année, c'est Alexandre qui en a assumé la présidence et qui s'est occupé de la coordination de la logistique. Après avoir travaillé intensément et assidument de septembre 2008 jusqu'à la fin du concours, l'étudiant a obtenu plusieurs éloges sur l'organisation du CERI et a pu agrandir son réseau de contacts, certains employeurs lui ayant même offert des possibilités de stages. « Certains ont même mentionné qu'il s'agissait de l'un des plus beaux CERI auxquels ils avaient participé à ce jour. » Outre le CERI, l'étudiant participera bientôt au Concours Excalibur, un tournoi interuniversitaire canadien en ressources humaines organisé par l'Ordre des conseillers en ressources humaines agréés. L'engagement D'emblée, Alexandre soutient que l'implication étudiante doit d'abord et avant tout passer par les professeurs. De fait, « ce sont eux qui ont la passion et qui ont un plus grand impact sur les étudiants. Si les professeurs s'impliquent, les étudiants suivront la parade. » À plus long terme, il compte se diriger vers les domaines des relations de travail et la négociation collective. D'ailleurs, un négociateur de la corporation Métro lui a même dit que « si je n'allais pas vers la négociation, j'allais gâcher un talent. » Parallèlement, il développe même petit à petit son sujet de maîtrise qui portera fort probablement sur le partenariat entre le patronal et le syndical. Sinon, Alexandre ne s'avance pas trop sur l'avenir : « J'irai là où le vent m'amènera ». L’organisation du Concours d’excellence en relation industrielle à l’UQO a bénéficié de l’appui de plusieurs partenaires dont Guru, la CSST, la FTQ, le Four Points par Sheraton, l’UQO, le RÉMAA sans oublier l’Age-UQO.	Sur la photo : Les membres de la délégation de l'UQO lors du Gala du Concours d'excellence en relations industrielles qui se tenait dans un grand hôtel de Gatineau. Alexandre Moreau, responsable de l'organisation du Concours d'excellence en relations industrielles 2009 qui s'est déroulé à l'UQO. La 2ième position en Gestion des ressources humaines pour l'UQO. De gauche à droite : Maxine L.-D., Roxanne Henry, Caroline Larose, Martin Lauzier (Professeur à l'UQO), et Céline Langlois. La 2ième position Politiques Publiques à l'UQO. De gauche à droite : Maxime Marchand, Francis Allard, Nicole McIntosh, Jonathan Roy-Beaumier, Ralph Jean-Poix (Président d'assemblé) La 2ième place de Débat Oratoire. Simon Lanteigne, de l'UQO, entouré par deux présentatrices, a gagné la deuxième place au débat oratoire .
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