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Une mère et sa fille obtiennent leur maîtrise en psychoéducation

Les astres se sont bien alignés pour Ginette Fleurent et sa fille Karine F. St-Germain, qui ont toutes les deux obtenu leur maîtrise en psychoéducation lors de la même collation des grades de l’UQO – Campus de Saint-Jérôme, en novembre dernier.

Ce n’était pas planifié, mais le destin en a voulu ainsi. « On n’a pas commencé en même temps. Quand j’ai commencé ma maîtrise, Karine était au cégep. J’ai dû faire une pause de deux ans et je suis revenue finir ma maîtrise. C’est donc un hasard qu’on finisse les deux en même temps », raconte Ginette Fleurent.

« Ce n’était pas voulu, mais le hasard a bien fait les choses, poursuit Karine. Je commençais ma dernière année de maîtrise quand ma mère est venue finir la sienne. C’est comme si elle est venue me rejoindre au fil d’arrivée. Je suis très fière de ma mère. Je l’ai vue faire beaucoup de sacrifices. Elle m’a beaucoup encouragée alors c’était le fun d’être ici en même temps qu’elle. »

Les deux diplômées risquent par ailleurs de poursuivre leur route ensemble, car madame Fleurent veut se diriger vers la pratique privée et sa fille n’écarte pas la possibilité de rejoindre sa mère comme psychoéducatrice dans le même bureau.

En pratique privée, la clientèle est large, que ce soit des enfants, des personnes du troisième âge, ou des personnes qui ont une déficience intellectuelle, ou encore du travail de réadaptation. « J’ai eu à travailler souvent avec gens du troisième âge et c’est ma clientèle préférée. Ce sont des personnes tellement reconnaissantes. Tu es comme un cadeau quand tu arrives pour les aider », dit Ginette Fleurent.

Les deux diplômées sont natives de Saint-Faustin, près de Mont-Tremblant. La mère habite maintenant à Saint-Jérôme, tandis que Karine est retournée vivre à Saint-Faustin.

La mère et sa fille étaient radieuses lors de la collation et une fois la cérémonie terminées, elles ont été prises en photo en compagnie du recteur de l’UQO, monsieur Denis Harrisson.

Cette maîtrise, elles l’ont obtenue après beaucoup de travail. « Ça représente beaucoup de travail, beaucoup de sacrifices, beaucoup de larmes. Du découragement parfois, résume Ginette Fleurent. Mais je suis tellement fière maintenant d’être avec ma fille qui obtient son diplôme en même temps que moi ! »

Le recteur de l’UQO, monsieur Denis Harrisson, entourée des deux diplômées à la maîtrise en psychoéducation, Karine F. St-Germain, à gauche, et sa mère, Ginette Fleurent.

Karine F. St-Germain et sa mère Ginette Fleurent posent fièrement après la collation des grades 2015 de l’UQO – Campus de Saint-Jérôme, le 22 novembre 2015.

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Savoir > Articles Une mère et sa fille obtiennent leur maîtrise en psychoéducation Les astres se sont bien alignés pour Ginette Fleurent et sa fille Karine F. St-Germain, qui ont toutes les deux obtenu leur maîtrise en psychoéducation lors de la même collation des grades de l’UQO – Campus de Saint-Jérôme, en novembre dernier. Ce n’était pas planifié, mais le destin en a voulu ainsi. « On n’a pas commencé en même temps. Quand j’ai commencé ma maîtrise, Karine était au cégep. J’ai dû faire une pause de deux ans et je suis revenue finir ma maîtrise. C’est donc un hasard qu’on finisse les deux en même temps », raconte Ginette Fleurent. « Ce n’était pas voulu, mais le hasard a bien fait les choses, poursuit Karine. Je commençais ma dernière année de maîtrise quand ma mère est venue finir la sienne. C’est comme si elle est venue me rejoindre au fil d’arrivée. Je suis très fière de ma mère. Je l’ai vue faire beaucoup de sacrifices. Elle m’a beaucoup encouragée alors c’était le fun d’être ici en même temps qu’elle. » Les deux diplômées risquent par ailleurs de poursuivre leur route ensemble, car madame Fleurent veut se diriger vers la pratique privée et sa fille n’écarte pas la possibilité de rejoindre sa mère comme psychoéducatrice dans le même bureau. En pratique privée, la clientèle est large, que ce soit des enfants, des personnes du troisième âge, ou des personnes qui ont une déficience intellectuelle, ou encore du travail de réadaptation. « J’ai eu à travailler souvent avec gens du troisième âge et c’est ma clientèle préférée. Ce sont des personnes tellement reconnaissantes. Tu es comme un cadeau quand tu arrives pour les aider », dit Ginette Fleurent. Les deux diplômées sont natives de Saint-Faustin, près de Mont-Tremblant. La mère habite maintenant à Saint-Jérôme, tandis que Karine est retournée vivre à Saint-Faustin. La mère et sa fille étaient radieuses lors de la collation et une fois la cérémonie terminées, elles ont été prises en photo en compagnie du recteur de l’UQO, monsieur Denis Harrisson. Cette maîtrise, elles l’ont obtenue après beaucoup de travail. « Ça représente beaucoup de travail, beaucoup de sacrifices, beaucoup de larmes. Du découragement parfois, résume Ginette Fleurent. Mais je suis tellement fière maintenant d’être avec ma fille qui obtient son diplôme en même temps que moi ! »	Le recteur de l’UQO, monsieur Denis Harrisson, entourée des deux diplômées à la maîtrise en psychoéducation, Karine F. St-Germain, à gauche, et sa mère, Ginette Fleurent. Karine F. St-Germain et sa mère Ginette Fleurent posent fièrement après la collation des grades 2015 de l’UQO – Campus de Saint-Jérôme, le 22 novembre 2015. Suivez-nous sur Facebook et Twitter!
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